Campione!

Campione!
Scénariste : HANADA Jukki
Réalisation : KUSAKAWA Keizou
Tags : Amour & Romance, Comédie, Ecchi, Fantastique
Thèmes : Combat, Divinité, Magie, Mythologie
Format : 13 épisodes de 24 min
Années de diffusion : 2012

Campione est le chef suprême. Il a le pouvoir de tuer un être céleste à l'aide de pouvoirs divins. Campione est le seigneur. Il a le pouvoir de tuer un dieu de ses mains et peut dominer les mortels sur terre. Campione est le diable parmi les mortels, personne ne peut se mesurer à lui. Il est le roi des rois.

Godô Kusanagi est un lycéen de seize ans, ancien joueur de base-ball, qui dû arrêter une carrière prometteuse à cause d'une blessure. Au cours des vacances du printemps, il se retrouve impliqué dans un combat divin et finit par tuer un dieu, Verethragna, en lui volant son pouvoir. Ainsi, il devint le plus jeune et septième Campione avec les responsabilités et les problèmes que ce nouveau titre apporte.

Vous connaissez mon aversion pour tout ce qui est « ecchi » mais voilà, il était midi, il n’y avait rien à la télé et le synopsis avait l’air pas mal. Je me suis donc dit « why not ? », je regarde les deux premiers épisodes histoire de faire passer le temps, et puis j’aurais mon opinons sur l’animé. Grande surprise donc puisque je me suis engloutie ce début de série vitesse grand V.
Evidemment ce n’est pas un big bang de la japanimation mais de toute façon, pour moi, il est impossible qu’un animé de 13 ou 25 épisodes se fasse une place parmi les grands… Il n’en reste pas moins qu’il y a des petites séries fort sympathoche et c’est le cas de Campione!.

Au niveau du scénar’, je ne vous cache pas que ce qui m’a fait craquer, ce sont les références à l’Histoire (avec un grand H s’il vous plait) notamment les biographies divines. Bien sur elles sont revues et modifiées, ainsi Athéna devient une reine déchue et apparentée à Médusa. Massacre historique ? Pas tant que ça puisque c’est très bien agencé et succinct : on ne se perd pas dans du n’importe quoi. Et lorsque Godou déblatère ses connaissances, il le fait d’un ton gravissime avec des formations de phrases façon prophéties… Il a l’air classe, c’est dit ! Et oui parce qu’au début j’étais persuadé que c’était un animé où il y avait ENCORE un pauvre gars coincé qui se retrouve avec 5 jolies filles sur les bras. Pauvre de lui. Style harem voyez-vous. Je ne dis pas que ce n’est pas le cas, mais les caractères des personnages font que ça trempe plus dans l’amusement que dans le pur l’ecchi lourd. Ce qui fait la différence aussi c’est les prises de vue : pas de gros plan sur la poitrine exagéreeeemeeeent grande des héroïnes, pas de petites culottes… Juste quelques scènes de bisous intempestifs avant le fight. Scènes de combats qui durent plus où moins deux épisodes le temps que Godou se fasse laminé, qu’il décide d’abandonner son faux côté pacifique (le coquin est un laxiste manipulateur) et qu’il éclate le dieu ou la déesse qui a décidé pour une raison X ou Y de tout détruire. Il y a aussi les grands méchants, l’organisation aux buts obscurs qui pimente l’histoire. L’arrivée de personnage dont on ne sait rien qui se trouve être enfaite des anciennes connaissances de la fière mage, Erica (autoproclamé chevalier et fiancée de Godou). Parce que l’amoureuse transit ne reste pas moins une calculatrice de première catégorie avec le dit élu de son cœur.

AMV ou Opening, à vous de choisir.